A l'appel d'une frange de l'opposition et d'un collectif d'artistes de renom dont certains, comme Tiken Jah Fakoly, sont connus pour ne pas faire dans la langue de bois contre les pouvoirs publics, la rue devrait gronder à Abidjan, ce matin, à moins qu'à la dernière minute, la marche ne connaisse le même sort que la précédente qui avait été interdite et dispersée.
Le casus belli entre les manifestants et le pouvoir de Alassane Dramane Ouattara (ADO), ce sont d'une part le Sénat que l'on estime trop onéreux et d'autre part la Commission électorale indépendante (CEI) jugée déséquilibrée dans sa composition. La question que l'on peut de prime abord se poser est la suivante : quelles sont les chances de succès de la manif ?
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