Ouvert le 27 février dernier, le procès du putsch manqué qui vient d'être reporté au 9 mai prochain, n'en finit pas de provoquer des vagues. En effet, pour l'auteur du point de vue ci-dessous qui dénonce « une prise de contrôle du procès par des procureurs par procuration », « le secret de l'enquête et de l'instruction doit être maintenu » parce que, dit-il, « une divulgation prématurée des éléments de la procédure ne pourrait que nuire à la sérénité des débats ». Lisez plutôt !
Ouvert le 27 février 2018, le procès sur le coup de force manqué de septembre 2015 au Burkina Faso a pris ses quartiers à Ouaga 2 000 et voit se dérouler les débats contradictoires d'ordre procédural. Viendront ensuite les débats sur le fond, entre des parties prenantes légalement habilitées, qui travailleront, dans le cadre des lois, à la manifestation de la saine vérité, la seule qui compte.
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