Des oortants des Instituts de formations des maitres (IFM) regroupés au sein d'un collectif étaient à la presse la semaine dernière à l'Ecole normale supérieure (EN-Sup). La rencontre avait pour objectif de mettre à nues les difficltés auxquelles le collectif est confronté.
Selon Issa Dembélé, président du Collectif des sortants des IFM, l'État a tendance à les oublier. «Chaque année, l'État nous forme, nous donne des attestations. Mais, nous ne savons pas à quoi servent ces attestations. Nous avons reçu une formation pour enseigner. On est plus de 5000 sortants aujourd'hui, mais l'État recrute très peu de sortants et continue à former chaque année», a-t-il déclaré.
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