C'est une première en Mauritanie, deux personnes ont été condamnées à un an de prison ferme pour avoir traité d'autres Mauritaniens d'esclaves. Des insultes proférées via le réseau social WhatsApp.
Abdallah Housseinou Coulibaly et Ibrahima Niang, tous deux originaires de la vallée du fleuve, sont les premiers à tomber sous le coup de la nouvelle loi de répression de l'esclavage. Ils écopent chacun de douze mois de prison et de 250 000 ouguiyas d'amende, l'équivalent de 500 euros.
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