« Des scandales de corruption et de concussion ont été révélés, mais la justice de notre pays peine à les élucider », se consternent les évêques du Congo*, dans une déclaration qu'ils ont rendue publique à l'issue de leur session extraordinaire tenue, du 8 au 9 mai, à Brazzaville.
La dénonciation de la corruption et la concussion vient en soutien à d'autres démonstrations présentées par les évêques du Congo comme faisant partie des « origines du mal de notre pays et des perspectives de sortie de crise ». Ainsi sont-ils remontés deux-trois ans en arrière pour rappeler les dissensions ayant opposé les acteurs politiques au moment de l'adoption de la nouvelle Constitution, le 25 octobre 2015, ou encore la crise du Pool qui a éclaté le 4 avril 2016.
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