Nombreux étaient ceux qui, aux premières heures de ce mardi 22 mai 2018, ont pensé à une «banale affaire» de banditisme urbain avant de se rendre compte que c'était plus grave que ça. En effet, l'assaut lancé vers 3 h du matin dans la nuit de lundi à mardi ne visait pas de vulgaires délinquants mais plutôt des djihadistes présumés, sinon confirmés, qui avaient établi leur atelier du mal dans une villa de Ragnongo dans la périphérie Est de Ouagadougou.
Plus tard, en milieu de journée, des explications données par le ministre de la Sécurité, Clément P. Sawadogo, il ressort que c'est suite à des investigations menées par l'Agence nationale de renseignement (ANR) que cette opération de sécurisation a pu être déclenchée.
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