Confrontée à une équation de boucler l'année académique, l'université Gaston Berger de Saint-Louis n'en a pas fini avec les difficultés suite à la mort de l'étudiant, Mouhamadou Fallou Sène. Elle est sans administration fonctionnelle : le rectorat est réduit en cendres, le service pédagogique et autres Ufr sont complétement saccagés, des ordinateurs et autres matériels bureautiques emportés.
En plus de cette situation déjà chaotique, l'Ugb est confrontée depuis quelques années à une massification incontrôlée des effectifs, une insuffisance des infrastructures pédagogiques et un déficit d'enseignants. Retour sur les péripéties d'une université en décadence dont la mort de Fallou Sène n'est que la résultante d'un cocktail explosif.
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