En conférence de presse hier, ldrissa Seck, qui refuse la paternité des propos qu'on lui attribue sur les lieux saints de l'islam, a présenté des excuses. Il donne, toutefois, rendez-vous à ses détracteurs à la fin du mois de ramadan.
L'ancien Premier ministre, Idrissa Seck, est depuis quelques jours sous la rampe des projecteurs. Non pas pour des faits politiques, mais pour des affaires liées à la religion. Après Mouhamadou Bamba Ndiaye, ancien ministre des Affaires religieuses sous Abdoulaye Wade qui l'a accusé de blasphème, le Pdg du Groupe Walfadji a aussi fait une conférence de presse avant-hier pour dire que le président de Rewmi s'est auto-exclu de la religion musulmane. Selon Sidy Lamine Niass, en disant que le vrai lieu de pèlerinage se trouverait à Jérusalem et non à la Mecque, Idrissa Seck «a profané l'islam et le prophète Mouhamed(Psl)».
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