Au Sénégal, l'Etat et la société civile, notamment les organisations de défense des droits de l'homme, se sont engagés à travailler main dans la main pour progresser en matière de défense des droits de l'homme. Et cela à tous les niveaux : judiciaire, carcéral, droit de manifester notamment. Une volonté de travailler qui fait suite au récent rapport du Comité contre la torture des Nations unies.
Dans son introduction, le Comité note les progrès importants effectués par le Sénégal, mais pointe du doigt le décalage parfois entre la volonté politique et les actes concrets. Un exemple, le Sénégal a modifié la loi pour permettre à un placé en garde à vue d'avoir accès à un avocat, mais pour l'un des rapporteurs Sebastien Touzé, le nombre d'avocats ne le permet pas.
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