Ils sont libres, mais pas d'accéder à leur terre, c'est ce que dénoncent d'anciens esclaves libérés dans la vallée du fleuve en Mauritanie. C'est le cas des dizaines de familles des villages soninkés du Guidimakha, spoliées de leurs terres agricoles par leurs anciens maîtres. Des familles qui ont décidé en dernier recours d'organiser un sit-in devant la présidence de la République à Nouakchott.
Les anciens esclaves du village de Daffor, à 60 kilomètres de Selibaby, dans l'est mauritanien, ne peuvent plus mettre en valeur leurs terres ancestrales. Ils sont empêchés par les anciens maîtres qui voient d'un mauvais oeil leurs velléités d'émancipation.
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