Meryem Ben Salah, qui était la dernière commissaire du prix Abraaj, a choisi de travailler sur le thème de l'eau, et s'est installée dans le lieu le moins aquatique qui soit, la petite église de l'Aouina.
Une petite église désaffectée, que tout le monde connaît, mais où personne n'entre jamais, et où l'équipe de Jaou découvrait, stupéfaite, que c'était devenu un ring de boxe. Meryem ben Salah a gardé le ring, et a travaillé sur l'importance de la Méditerranée, la puissance de l'identité de la jeunesse ayant cette mare nostrum en partage, et cette magnifique aptitude d'adaptation qu'elle a, prenant la forme de la fluidité de l'eau.
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