Au coup de sifflet final, on vit virevolter le mouchoir de tête de Tata, suivi de pas de danse. Ses lourdes jambes martelaient le sol. Et, comme le corps a de la mémoire, Tata se souvint des danses de sa prime jeunesse quand, dans les taneber, elle était la reine du niari gorong, du ventilateur, moulay tiaguine et autre arwatam.
LE MUNDIAL DE TATA
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