Avec ses derniers bastions forestiers, reliques ultimes d'une végétation jadis dense et luxuriante, le Fouladou accueille chaque année des chasseurs venant, pour l'essentiel, de la France. Conséquence de ce rush programmé, la dégradation de l'environnement y réduit drastiquement la faune sauvage.
La forêt cède la place à la clairière et certaines espèces à poils, tout comme le phacochère sont en train de disparaitre. Le tourisme de chasse et l'amodiation génèrent des retombées économiques lucratives. La dernière saison de chasse a rapporté au Trésor public près de 30 millions de francs Cfa.
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