Cela fait «exactement deux ans, deux mois et quatre jours» que les marchands ambulants ont été «balayés» des rues de la capitale. «On nous a isolés entre deux gares.» Et depuis, dénonce Hyder Ryman, porte-parole de la Street Vendors Association, «1 400 familles vivent un véritable calvaire». Il était face à la presse, ce jeudi 21 juin.
Au dire de Hyder Ryman, environ 30 % des marchands ambulants ont jeté l'éponge. «Certains ont pris de l'emploi dans le secteur de la construction, d'autres travaillent comme gardiens. Il y en a qui sont sans-emploi...» Impossible, dit-il, de joindre les deux bouts depuis que la capitale a été désertée.
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