Alors que l'on croyait enterrée la hache de guerre, les protagonistes de la crise centrafricaine ont encore décidé de faire parler la poudre. Si fait que Bangui la coquette est subitement devenue Bangui la kalach, où la mort se vend à moindre frais par les marchands de la violence, en l'occurrence les multiples groupes armés qui se disputent le contrôle du pays.
En effet, pas plus tard que le 20 juin dernier, des affrontements ont éclaté dans le Nord du pays entre deux groupes armés issus de l'ex-rébellion de la Séleka, à dominante musulmane, faisant plusieurs morts. Il s'agit, pour ne pas les nommer, du FPRC et du MPC, qui se disputent le contrôle de la Ndele.
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