Aux Comores, le référendum constitutionnel prévu le 30 juillet prochain n'en finit plus d'engendrer des crispations. Jeudi 21 juin, un rassemblement d'élus et anciens élus de différents partis d'opposition a été empêché par des arrestations de la gendarmerie. Après le gouverneur de l'île d'Anjouan, le gouverneur de Grande Comore puis le vice-président représentant cette même île, c'est au tour de l'île de Mohéli de faire entendre ses voix discordantes à propos du référendum. Reportage.
Conserver la Constitution telle quelle est l'objectif des élus locaux et anciens élus qui n'hésitent pas à s'en prendre au vice-président Sarouma, dit Chabouhane, et à Mohamed Saïd Fazul, le gouverneur de l'île.
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