«Nous sommes toujours dans un contexte politique de mauvaise gouvernance caractérisé par une absence de concurrence des marchés avec des quasi monopoles dans des secteurs comme les télécommunications ou les infrastructures, de mauvais et de faibles investissements dans les secteurs prioritaires comme l'éducation ou la santé.
Il s'y ajoute que le partage des postes stratégiques en particulier ne se fait pas en fonction de la compétence et du mérite. Le pouvoir est toujours distribué dans le cadre de rapports de clientèle entre membres de la famille, amis...
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