Les « Ghost Town » (villes mortes en français), voilà l'une des armes utilisées par la protestation anglophone dans les régions du sud-ouest et du nord-ouest du Cameroun. A Buea, cette stratégie développée par les militants sécessionnistes a lieu tous les lundis.
Si ces villes mortes impactent l'activité économique, leurs initiateurs veulent surtout établir un rapport de force dans leur opposition au pouvoir de Yaoundé.
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