La capitale sénégalaise s'est quasi vidée de ses occupants pour les besoins de la fête de Tabaski. Le décor des artères est désolant. La circulation est fluide. L'activité commerciale presque au point mort. Tel est le constat, 48 heures après la fête d'Aïd el-Kebir.
Dans bien des axes à fortes affluences de la capitale sénégalaise, c'est le calme plat qui y règne après la célébration de la fête de Tabaski, communément appelée Aïd el-Kebir ou Aïd al-Adha. Une fête du sacrifice célébrée majoritairement au Sénégal avant-hier, mercredi 22 août. Sur tout le long de ces artères, par endroits le décor est "insolent".
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