Le Togo, le Ghana et le Nigeria s'engagent à harmoniser leurs programmes dans le secteur de l'enseignement technique supérieur. Une recommandation formulée par l'organisation internationale du travail (OIT).
Ces pays ne partagent pas la même langue et les programmes sont différents. Très difficile pour un diplômé de profiter de la mobilité qu'offre l'Espace Cédéao.
'Un jeune formé au Togo, un plombier ou un peintre par exemple, doit avoir la possibilité de travailler au Nigeria ou au Ghana', a estimé mercredi Kokou Eké Hodin, le ministre délégué en charge de l'Enseignement technique.
Une assise régionale s'est ouverte ce jour à Lomé pour évoquer ces questions et pour tracer les contours d'une harmonisation et d'une reconnaissance mutuelle des formations.