Khartoum — La Cour chargé de juger l'affaire de fatwa pour tuer les manifestants, devant laquelle le Président déchu Omer Hassan Ahmed Al-Bashir, son adjoint Ali Osman Mohamed Taha, Ahmed Haroun chef du Parti du Congrès National dissous, et Al-Fateh Ezz El-Din Mansour, ancien Président du parlement, semblent poursuivre leurs sessions la semaine prochaine, continue ses sessions la semaine prochaine, présidée par le juge Zuhair Babiker Abdel-Razik.
La session d'aujourd'hui de la cour, qui s'est tenue à l'Institut des Sciences Judiciaires, a été ajournée en raison de l'absence du plaignant de sa maladie en plus de l'absence d'un technicien qui était censé présenter un document d'accusation à la session.
Les prévenus sont accusés d'incitation et de complicité criminelle dans le meurtre de manifestants en vertu de l'article 25 du droit pénal, d'incitation, de l'article (65) organisations criminelles et terroristes, de l'article 144 terrorisme et de l'article (186) crimes contre l'humanité.