Sous la houlette du Président de la République Alassane Ouattara, la Côte d'Ivoire a renoué avec le dialogue et la paix. Lentement mais sûrement, le pays ferme les cicatrices des différentes crises qui l'ont secoué depuis la disparition de son premier président, feu Félix Houphouët Boigny, le 7 décembre 1993, pour s'inscrire résolument dans une dynamique de développement et de prospérité.
La parenthèse de crises quasiment close, le pays d'Alassane Ouattara rayonne et est apprécié à travers le monde. Ainsi, la Côte d'Ivoire en lambeaux, fragilisée par les coups de canon dus aux désaccords au sein de sa classe politique et complètement à terre économiquement, s'est redressée. L'éléphant, on peut le dire, se fait désormais entendre dans la forêt africaine. En effet, avec l'ex-directeur général adjoint du Fonds monétaire international à sa tête, la Côte d'Ivoire est redevenue le pays phare de la sous-région ouest-africaine et tire fièrement cette partie du continent vers le haut.
D'exploit en exploit, elle réalise un second miracle économique à la grande joie des populations. Qui voient leurs conditions de vie et de travail s'améliorer au fil des années. En tout cas, la Côte d'Ivoire est de retour avec les performances économiques, sociales et le renforcement permanent de la paix qui règne depuis l'avènement du Président Alassane Ouattara au pouvoir d'Etat en 2011.
Alors que les chefs d'Etat et les investisseurs à travers le monde sont admiratifs des efforts du premier magistrat ivoirien et des progrès réalisés par son pays en si peu de temps, au plan interne, les opposants et particulièrement les responsables du Parti des peuples africains section Côte d'Ivoire (PPA-CI) tentent de nier l'évidence. Aveuglés par la haine, ces opposants ne perçoivent pas les choses bougées autour d'eux.
Pourtant, ils circulent sur des routes bitumées qui étaient impraticables sous le pouvoir de leur chef de fil, l'ex-chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. Ils traversent ponts et échangeurs pour aller rencontrer des populations dans le pays profond. Et, quand ces populations vantent les mérites du pouvoir en place, ils ont toujours ces mots à la bouche : "La rébellion armée du 19 septembre 2022 a empêché le président Laurent Gbagbo de travailler ".
Ainsi, pendant dix ans, l'ancien député de Ouragahio qui avait, selon lui, la Côte d'Ivoire utile, a été empêché de réaliser des infrastructures, de désenclaver des régions entières avec un programme cohérent d'électrification rurale, de construction de ponts, d'écoles primaires, d'hôpitaux comme c'est le cas actuellement. Cependant, les Ivoiriens ne sont pas du tout naïfs. Ils savent surtout que le garant de la paix en Côte d'Ivoire est le premier citoyen. Il lui revient donc de se battre pour maintenir celle-ci pour permettre à son peuple de vivre en toute tranquillité.
Ce que Laurent Gbagbo n'a pu faire. Il a plutôt préféré la promotion de la haine et de la violence avec pour conséquence la rébellion armée de septembre 2002. En plus, il est assez clair que l'ex-chef de l'Etat n'avait aucun programme de développement pour le pays. C'est pourquoi, il a été très vite dépassé par les évènements et a précipité le pays jadis havre de paix dans la guerre. Pour ensuite installer son régime dans le sang des Ivoiriens et dans la gabegie. Les mémoires sont encore pleines des atrocités, des tortures vécues par les uns et les autres sur des soupçons d'appartenances politiques, régionales ou ethniques.
Les placards du régime des refondateurs remplis de cadavres, il a passé tout son temps à vouloir conserver le pouvoir d'Etat par tous les moyens. Dans cette bataille, le bonheur des Ivoiriens était évidemment le dernier des soucis. Les populations ont donc été laissées pour compte quand la Côte d'Ivoire évoluait au rythme des scandales de tout ordre. Passés dans l'opposition aujourd'hui, le président du PPA-CI et ses hommes qui ont pourtant démontré leur incapacité à gouverner le pays estiment qu'ils incarnent l'espoir pour la Côte d'Ivoire.
Ce, sans aucune proposition concrète. De toute évidence, ils n'ont rien à proposer. Car, ils savent pertinemment que personne dans l'opposition ne peut faire mieux que le Président de la République Alassane Ouattara. En lieu et place donc des propositions concrètes dans le sens de l'amélioration des conditions de vie et de travail des Ivoiriens et de la gouvernance du pays, c'est encore et toujours les discours creux et démagogiques.
