Washington — Le Président de la République, João Lourenço, est arrivé samedi soir (22h01 heure locale, 04h01 en Angola) dans la ville de Washington, États-Unis d'Amérique, pour participer au Sommet des leaders Etats-Unis/Afrique, une initiative de son homologue américain, Joe Biden.
Le Chef de l'Etat, qui est accompagné de la Première Dame, Ana Dias Lourenço, dirige une délégation ministérielle qui participera à des différents panels tout au long du Sommet, dont l'objet est d'échanger sur les perspectives de coopération entre Américains et Africains.
Pendant quatre jours, le Président João Lourenço réalisera un programme intense qui comprend la participation à un forum d'affaires, mercredi (14), dans lequel il interviendra.
Le même jour, l'homme d'État participe à un dîner officiel offert par le président des États-Unis à tous ses homologues africains invités.
Son programme prévoit également une audience avec des personnalités de l'administration américaine, comme le secrétaire d'Etat, Antony Blinken, ainsi que des rencontres avec des hommes d'affaires de ce pays.
Le Sommet États-Unis-Afrique, qui réunira des dirigeants de tout le continent africain à Washington, DC, se déroulera du 13 au 15 de ce mois.
Le sommet démontrera l'engagement des États-Unis envers l'Afrique et soulignera l'importance des relations américano-africaines et d'une plus grande coopération sur les priorités mondiales partagées.
L'événement vise, entre autres, à mieux promouvoir un nouvel engagement économique, à renforcer l'engagement américano-africain en faveur de la démocratie et des droits de l'homme, à atténuer l'impact du COVID-19 et des futures pandémies.
Un autre objectif est de travailler en collaboration (Américains et Africains) pour renforcer la santé régionale et mondiale, promouvoir la sécurité alimentaire, la paix et la sécurité, ainsi que répondre à la crise climatique et élargir les liens avec la diaspora.
Le Sommet devrait mobiliser les gouvernements africains, la société civile et les communautés de la diaspora aux États-Unis, ainsi que le secteur privé, dans la poursuite d'une vision commune pour l'avenir des relations américano-africaines.