Alors qur l'intersyndicale CNTG_USTG a volé en éclats sur une décision des seconds qui se voyaient exclus de certaines décisions d'intérêt commun et après plusieurs remous dans la cité du sage Karamoko Alfa.

Les effets du divorce se poursuivent et cette fois, l'USTG réclame la rondelette somme de 40 millions au camp d'en face, résultat de 8 mois de gestion unilatérale au compte du collectif

Au moment du bilan, Mory Diakité purgeait une suspension prononcée par sa hiérarchie mais ses pairs présents avaient calculé 40 millions alors que poir les anciens partenaires parlent de 28 millions encaissés pour 28 millions moins 27.000 francs guinéens dépensés.

Selon Mory Diakité, deux correspondances ont été adressées à l'ancien partenaire en vue d'une réunion d'explication mais suite n' y a pas été donnée et l' USTG n'en demord pas et s'apprête à enchaîner avec une troisième missive.

Pour le secrétaire général de l'USTG taxi motos, lors de cette réunion réclamée à cors et à cris on devra calculer les entrées et les dépenses effectuées sur une base concertée le reste n'engageant que ceux qui y ont souscrit.

Pour son mot de la fin Mory Diakité a déploré la fragmentation du secteur qui compte plus de 4 gilets désormais avant d'appeler à la discipline, la sincérité et la solidarité.

Joint au téléphone par une certaine presse pour des besoins d'équilibrer l'information, Thierno Abdourahmane Diallo a promis de passer le numéro d' un de ses collaborateurs pour la réaction de son camp sans toutefois honorer l'engagement.

Piqûre de rappel, aux prises avec la commune lors de la dernière crise qui a secoué le secteur des taxis motos, Thierno Abdourahmane Diallo contre qui le maire himself avait ester en justice a été condamné avec ses compagnons d'infortune à 5 mois de prison avec sursis assortie d'une amende de 500.000 francs chacun par le TPI de Labé lors de la rentrée judiciaire dernière.