Asuncion — L'élection du Maroc à la Présidence du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies pour l'année 2024 est une « juste reconnaissance » des actions menées par le Maroc, sous l'impulsion de SM le Roi Mohammed VI, pour promouvoir la tolérance religieuse et la culture de la coexistence entre les civilisations, a estimé l'historien et universitaire paraguayen Luis Aguero Wagner.
Aux yeux de ce professeur d'histoire à l'Institut de l'Armée de l'air du Paraguay et auteur d'un livre intitulé "le Sahara marocain au-delà du Sahara occidental", il s'agit « d'une juste reconnaissance du travail constant de SM le Roi Mohammed VI en faveur de la tolérance religieuse et de la promotion de la culture de la coexistence entre les civilisations, ainsi que de Ses efforts continus pour inscrire le Maroc dans la modernité et l'intégrer au concert des nations ».
Dans une déclaration à la MAP, Aguero Wagner a qualifié « d'historique » l'élection du Maroc à la présidence du Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU, soulignant notamment « la doctrine tracée et respectée par le Maroc dans le contexte des litiges internationaux, dans lesquels son action est invariablement marquée par la recherche du consensus, par le biais du dialogue ».
Le Maroc a été élu mercredi à la Présidence du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies pour l'année 2024, lors d'un vote tenu à Genève.
Sur les quarante-sept membres du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies, 30 ont appuyé la candidature du Maroc, face à celle de l'Afrique du Sud, qui n'a recueilli que 17 votes.
Un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger a souligné que cette élection du Maroc, pour la première fois de son Histoire, à la Présidence de ce prestigieux organe onusien, exprime une reconnaissance par la Communauté internationale, de la clairvoyance de la Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, en matière de protection et de promotion des droits de l'Homme.