Paris — L'élection du Maroc à la Présidence du Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU pour l'année 2024 reflète les "très grands progrès" réalisés par le Royaume depuis l'accession de SM le Roi Mohammed VI au Trône, a souligné le sénateur français Christian Cambon, président de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées au Sénat.
Se félicitant dans une déclaration à la MAP d'un "résultat clair" en faveur du Maroc lors du vote tenu plus tôt dans la journée à Genève, M. Cambon, également président du groupe interparlementaire d'amitié France-Maroc au Sénat, a relevé qu'à travers cette élection, "la communauté internationale prend acte des efforts fournis par le Royaume en matière des droits de l'Homme".
Il s'agit selon lui d'une "consécration" et d'une "reconnaissance" des efforts du Maroc en faveur des droits de l'Homme, qui est sur "la bonne voie".
"Avec 30 voix sur 47, le choix est clair en faveur du Maroc et je m'en réjouis", a déclaré M. Cambon qui s'attend à une présidence marocaine du CDH "active et volontaire" pour "entraîner le monde vers plus de respect de ces droits".
Cela témoigne, selon lui, de "l'influence tout à fait positive du Royaume au sein de la communauté internationale".
Ce vote et la reconnaissance du rôle de ce "grand pays ami" constituent un "signe favorable pour le rôle, l'importance et l'influence singulièrement du Maroc en Afrique", a conclu le sénateur français.