Violences, arrestations et méfiance à l'approche des élections au Burundi

Les élections approchent et cette période est marquée par une amplification de la répression étatique. Selon certains responsables de la société civile, il existe une liste « de personnes à abattre » élaborée en secret.

La militarisation présumée des jeunes des partis politiques au Burundi est une source d'inquiétude. Ces groupes étaient à l'origine des premières violences de la guerre civile qui a affecté le pays de 1993 à 2005.

Le chef de la Mission d’observation électorale des Nations Unies (MENUB), Cassam Uteem (à gauche) et Issaka Soudan, le chef adjoint de la MENUB, à Bujumbura lors de la cérémonie d’inauguration.

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