Une population estudiantine sans cesse croissante, mais les infrastructures suivent lentement.
Ce jeudi 6 octobre 2005, le bloc interfacultaire, bâtiment regroupant toutes les quatre facultés de l'université de Ngaoundéré, grouille de monde. Les halls sont bondés de nouveaux étudiants qui effectuent des opérations de préinscription, les babillards envahis par les anciens qui consultent leurs résultats. Plus loin, certains candidats au concours d'entrée à l'Institut universitaire de technologie (UIT) consultent les résultats qui viennent d'être affichés. Parallèlement, dans les salles, les cours ont démarré.
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