Il est reconnu que le travail de la terre exige beaucoup d'efforts physiques. D'autant plus qu'il est impératif d'effectuer des travaux en temps voulu car les saisons dictent le type de travail à faire sur les surfaces agraires. .
Le facteur ramadhan ne saurait avoir une incidence sur la qualité du labeur ou sa quantité car il y va de la réussite de la campagne agricole menée. Baisser les bras ou encore diminuer son activité en ce mois de jeûne est à exclure du côté des exploitants agricoles. La preuve nous viendra de ces champs qui ne désemplissent pas de leurs acteurs. Conducteurs de tracteurs ou semeurs à la main de jeunes plants, s'accommodent de la situation comme si de rien n'était. Tout le monde s'attelle à son travail avec la même ponctualité, les horaires de travail ne changent pas contrairement à ce qui se fait dans d'autres activités industrielles où le temps de travail connaît des aménagements circonstanciels. Par ailleurs, dans le milieu agricole, et c'est une habitude, on préfère travailler aux premières lueurs du jour, en période de jeûne, on ne saurait changer de règle. On comptera le même nombre d'actifs que ce soit en période normale ou pendant le mois de ramadhan.
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