Libreville — A un mois du scrutin présidentiel, la tension monte dans ce pays d'Afrique centrale, entretenue par les allégations de fraude et les menaces à peine voilées que se lancent les parties en présence.
Les candidats de l'opposition exigent des élections libres, dépourvues des pratiques frauduleuses qui, selon eux, ont aidé le président Omar Bongo - le doyen des présidents africains - à se maintenir au pouvoir.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article