Abidjan — Georges Adou (FIC): " Il faut de l'espoir quelque part. Prenons l'exemple de l'Angola. Pendant que ce pays était en guerre, il n'y avait que le sport qui montrait que cette nation était toujours debout. Il faut que la jeunesse vive. Si le sport était en panne, le pays aurait arrêté de vivre. C'est une bonne chose que nous puissions tenir la route sur ce qui nous reste du territoire.
Quand on sort de la Côte d'Ivoire, on a l'impression que tout brûle ici. La presse dramatise. Récemment, un ami nigérian me demandait où on fait la guerre ; simplement, parce que pendant son séjour d'une semaine, il était en sécurité ; même à des heures tardives. Je lui ai répondu que c'est dans la tête des gens et dans les journaux.
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