Le dernier jour du sommet de l'Union africaine (UA) a été consacré à la question du mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar Al-Bashir, pour sept chefs d'accusation de crimes de guerre et crimes contre l'humanité, y compris le meurtre, le viol et la torture.
La trentaine d'Etats africains qui sont signataires du Traité de la CPI ont l'obligation d'arrêter Bashir, s'il mettait le pied sur leur sol, et le remettre à la cour.
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