Le 2 juillet dernier à la faveur du 13e sommet de l'Union africaine(UA), une quinzaine de chefs d'Etat ont décidé à Syrte de ne pas « coopérer avec la CPI dans le dossier Omar El Béchir ». Autrement dit, que la CPI ne compte pas sur eux pour arrêter celui qui est accusé de « crimes de guerre et de crimes contre l'humanité ».
Curieuse et étonnante décision de leur part, puisque « ce sont surtout les pays africains qui ont demandé avec insistance cette Cour », affirme Louis-Moreno Ocampo, président de ladite Cour, sur la chaine télévisuelle France 24 le 3 juillet 2009.
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