Les lampions de la 22e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) se sont éteints avec, comme à l'accoutumée, la cérémonie des distinctions. Le prix tant convoité, l'Etalon d'or de Yennenga, d'un fier galop, a pris la direction du Royaume chérifien. Sur son dos, l'heureux cavalier Mohamed Mouftakir.
Avec Pégase, ce réalisateur est entré dans l'histoire du FESPACO par la grande porte. C'est tout à son honneur et à celui du cinéma africain, particulièrement du cinéma marocain qui tire probablement profit de son industrialisation. Une fois de plus, Yennenga échappe aux Etalons cinéastes même si on peut se consoler de prix et mentions spéciaux glanés çà et là.
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