Affronter le pays organisateur et de surcroit en Afrique suscite une préparation particulière, notamment sur le plan mental. Avant chaque rencontre, sélectionneur, joueurs et même «politiques» haussent le ton. En Afrique, le match se joue en premier lieu à l'extérieur de l'enceinte sportive.
Car tous les moyens sont bons pour gagner une rencontre, en particulier la guerre des nerfs. Une guerre qui a déjà commencé. Même le président gabonais s'y met : «Nous devons prendre chaque match comme une finale et rugir à chaque rencontre», a déclaré Ali Bongo dans un entretien accordé à «Orange Sport»
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