Le 22 février 2002, soit il y a dix ans jour pour jour, le chef rebelle Jonas Savimbi tombait sous les balles de l'armée angolaise au terme d'une guerre civile qui avait fait près d'un million de morts. Dix ans après, que reste-t-il de Jonas Savimbi ?
Ce qui reste de Savimbi, c'est d'abord le souvenir d'un homme cruel et séduisant - une sorte d'anti-héros qu'on déteste et qu'on admire à la fois. Après l'indépendance de l'Angola, en 1975, le fondateur de l'Unita a éliminé physiquement les compagnons qui lui faisaient de l'ombre et a installé autour de lui un culte de la personnalité à la Mao Tsé Toung.
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