Plus de 24 heures après la condamnation d'un journaliste burundais, correspondant de RFI en swahili, à la prison à vie pour « complicité de terrorisme » jeudi au Burundi, et devant le tollé suscité par un verdict qualifié d'inique par la société civile et les organisations professionnelles des médias, qui dénoncent « un procès de la honte », les autorités burundaises commencent à sortir d'un silence plutôt embarrassé.
Premier à s'exprimer, le porte-parole de la Cour suprême et du ministère public burundais, Elie Ntungwanayo, qui a rappelé au micro de RFI que le condamné a la possibilité de faire appel.
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