Dans l'est de la RDC, le camp de Kanyarucinya accueille des déplacés qui, avant de fuir le Mouvement du 23-Mars (M23), avaient déjà échappé en 2008 à une autre rébellion. Aujourd'hui comme hier, ils connaissent le quotidien des déplacés : pénuries, anxiété, inconfort.
L'histoire se répète à Kanyarucinya. En 2008, le Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) menaçait de prendre Goma, la capitale de la province instable du Nord-Kivu, dans l'est de la RDC. Face à son avancée, des déplacés avaient alors improvisé un camp à Kanyarucinya, à une dizaine de kilomètres de Goma. « On a vu les rebelles venir, nous avons eu peur et nous sommes venus ici », se souvient Christophe, 17 ans, chemise saumon et jeans turquoise.
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