Exécutions sommaires, villageois brûlés vif... le rapport d'Amnesty International publié en début de semaine met directement en cause des gendarmes et militaires à Madagascar. Déployés dans le Sud depuis plus de deux mois pour mettre fin aux vols de zébus, ils sont au centre des critiques et des polémiques depuis plusieurs semaines. L'ONG évoque même des meurtres d'Etat en série de civils. Les responsables des forces armées démentent et dénoncent une enquête bâclée.
Exactions, manque de discernement, c'est ce dont font état les témoignages recueillis par Amnesty International. Mais pour Richard Ravalomanana, commandant de la gendarmerie, ce rapport n'est tout bonnement pas crédible.
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