«Je suis inscrit sur le registre électoral, donc je suis citoyen, et j'existe encore», c'est ce que l'on déduit de l'ensemble des réflexions à la cartésienne menées par les différents intervenants à la conférence sous-régionale tenue, hier matin, à Tunis sur «l'inscription des électeurs : une perspective comparative internationale pour l'Egypte, la Libye et la Tunisie».
Trois pays qualifiés «de pays du Printemps arabe» qui ont pu renverser leurs régimes autoritaires pour instaurer des Etats libres et démocratiques, où tout citoyen doit pleinement bénéficier de ses droits civils et politiques dont le droit de vote.
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