Nairobi — A quelques jours des élections générales au Kenya, l'ancien vice-ministre de l'Information du pays, Koigi Wamwere, a critiqué les appels pour un partage du pouvoir avec les groupes ethniques minoritaires dans le prochain gouvernement, qualifiant cela de "concept dangereux".
La Commission nationale pour la cohésion et l'intégration (NCIC), un organe gouvernemental créé pour régler des conflits interethniques, et une partie de la société civile kényane ont demandé à ce pays d'Afrique de l'est d'adopter la démocratie négociée comme un moyen d'endiguer les différences profondes entre les divers groupes ethniques dans cette nation.
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