Le chef de guerre Amadé Bouérémi et son armée de miliciens continuent de semer la terreur dans le grand Ouest où ils exproprient les populations locales. Et pourtant le gouvernement avait promis les mettre hors d'état de nuire au plus tard au mois de février 2013. Un autre engagement non tenu.
" C'est à Abidjan qu'on parle de mon départ de cette zone (grand Ouest). En ce qui me concerne, je ne me sens pas concerné et cela n'est pas du tout à l'ordre. Le président Alassane Ouattara sait très bien que je suis ici et ce que je fais ". A travers ces propos qui nous ont été rapportés par un haut fonctionnaire de l'Etat exerçant dans le grand ouest, Amadé Ouérémi ci-devant chef de guerre et supplétif des FRCI qui a annexé la forêt classée du Mont Péko répondait sûrement aux vaines menaces du gouvernement de le faire partir de gré ou de force.
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