Avec ces dizaines de morts de civils et de militaires dans les rues de Bangui, la Centrafrique offre désormais le pire des spectacles auquel on s'attendait le moins pour se pays en crise institutionnelle et identitaire. L'opération Sangaris engagée par l'armée française depuis trois semaines semble avoir atteint ses limites.
Les forces africaines de la Misca se révèlent également incapables d'arrêter le massacre qui se déroule sous le nez et la barbe de la communauté internationale. La comptabilité macabre est en pleine ascension à Bangui.
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