Le ministre congolais de l'Intérieur, Richard Muyej a qualifié mercredi 19 novembre le rapport de Human Rights Watch documentant au mois 51 meurtres et disparitions forcées imputés à la Police nationale congolaise lors de l'opération Likofi contre les Kulunas de «chantage éhonté et d'humiliation contre le gouvernement de la république et le peuple congolais».
L'opération policière Likofi (coup de poing, en Lingala, NDLR) contre le banditisme urbain à Kinshasa a été menée entre novembre 2013 et février 2014. Au cours de celle-ci, de nombreux jeunes ont été abattus de sang-froid par la police non loin de leurs domiciles tandis que d'autres ont été victimes de disparition forcée, indique le rapport de l'ONG Human Rights Watch.
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