Au Burkina Faso, les députés du Conseil national de Transition viennent de voter une loi fixant de 1 à 5 millions de Francs CFA, les amendes à payer en cas de délits d'outrage, d'injure et de diffamation. Les députés du Parlement intérimaire ont examiné et adopté trois projets de loi sur la presse burkinabè.
Désormais, aucun journaliste reconnu coupable de diffamation ou d'injures n'ira en prison, mais en lieu et place il paiera une amende allant de 1 à 5 millions de Francs CFA. Des amendes dénoncées par les responsables de médias, qui craignent pour la survie de leurs entreprises.
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