Les 17 jeunes opposants condamnés à des peines de deux à huit ans de prison et leurs proches continuent de se battre pour leurs droits. Grève de la faim, manifestations réprimées... Face à un pouvoir qui se montre implacable, les options sont minces.
Quelques jours après leur condamnation, les avocats de la défense des 17 jeunes opposants ont émis une demande d'Habeas Corpus pour que les prévenus puissent attendre le verdict de l'appel en liberté. Cette demande est restée sans suite alors que deux tentatives de manifestation de solidarité avec les accusés ont été interdites et réprimées par les autorités angolaises qui ont procédé à l'arrestation de plusieurs dizaines de personnes. Des rassemblements ont également eu lieu à Lisbonne, au Portugal.
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