Cinq étudiants du Centre Africain d’Etude Supérieures en Gestion (CESAG) qui constituent l’équipe du Global Management Challenge (GMC) Sénégal vont défendre les couleurs de ce pays à la phase mondiale de ce concours prévu du 18 au 20 avril 2016 à Macao, en Chine. Leur objectif principal est de prendre le dessus sur les équipes concurrentes.
L’équipe sénégalaise du Global Management Challenge (GMC) ne compte pas jouer les rôles de faire valoir dans la phase mondiale du Global Management Challenge (GMC) ouverte ce 18 avril à Macao, en Chine. Une compétition internationale qui, selon le Directeur Général du CESAG, M. Boubacar Baïdari, a pour objectif de valoriser les compétences des étudiants en gestion et en stratégie d’entreprise.
Il souligne que cette rencontre cible les jeunes managers et les étudiants des écoles de commerces, d’ingénieurs et des universités telles que HEC Paris, Essec Business School, Centrale Nantes, Paris Dauphine etc.
Après avoir été ainsi primée, lors de la phase nationale du concours, les cinq étudiants du CESAG qui composent l’équipe sénégalaise veulent dompter leurs challengers issus d’une quarantaine de pays du monde.
Lors de la cérémonie de remise de fanion qui s’est tenue le vendredi 15 avril à Dakar, elle était gonflée à bloc. Comme l’a affirmé le chef d’équipe, M. Abani Chris de Suzanne : « nous sommes conscients de ce qui nous attend à Macao mais nous sommes capables de ramener le trophée au Sénégal ».
Pour le directeur général du CESAG, cette équipe sénégalaise part avec les mêmes chances que les jeunes américains, européens ou asiatiques qu’elle va trouver à Macao. A son avis, la seule chose qui fera la différence est la persévérance, la performance et la détermination. Avant de rappeler à ses étudiants que non seulement ils vont défendre les couleurs du Sénégal mais également celles de toute l’Afrique.
Sur la même lancée, le président du Global Management Challenge, M. Abdourahmane Bamba, organisateur de la compétition au niveau national, fait savoir à l’équipe sénégalaise que « c’est un lourd fardeau, mais nous espérons pouvoir relever le défi ».