Au Cap-Vert, le soldat soupçonné d'avoir tué onze personnes en début de semaine est toujours entendu par la police judiciaire et l'armée. Peu d'informations de ses auditions sont diffusées par les autorités judiciaires. Cette tuerie, en pleine transition politique, a en tout cas un impact direct sur le fonctionnement des institutions.
« Quand quelque chose ne va pas dans la société, ce type d'actions se produit. » Ces mots sont ceux de la première dame du Cap-Vert, Lígia Fonseca. La femme du chef de l'Etat, qui n'a aucun rôle politique, ajoute : « Notre pays n'a jamais connu une telle situation. Quelque chose a échoué en terme d'assistance, de sécurité ». Des mots durs, critiques envers la classe politique.
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