Jeudi matin au marché de Quatre-Bornes. À l'arrière, tout au fond, un Monsieur fort coquet. Ses cheveux à moitié rouges et aux trois quarts gris ou noirs, Faroock les recoiffe à l'aide d'un petit peigne blanc. «Mo alright la ?» Ça y est, on peut parler de ses balyé fatak.
Ils sont disposés, exposés sur un carton, à même le sol, propre comme un vieux sou presque neuf. «Mwa ek mo madam kontan kan tou an ord.» A côté, Shehnaz esquisse un sourire entendu. Cela fait 35 ans qu'ils sont mariés et leur complicité n'a pas pris de coup de bambou. Ils sont inséparables, un peu comme les tiges de leurs balais. «Séki aranzé ek vacoas-la kout Rs 150, séki ek rafia Rs 100.»
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