Derrière l'accalmie apparente de la proclamation des résultats officiels du scrutin présidentiel du 1er décembre en Gambie et la reddition sans effusion de sang de Yahya Jammeh, se sont jouées, en coulisses, des conciliabules et d'interminables tractations pour faire plier le président sortant que les résultats donnaient perdant. Car, Jammeh a bien tenté de s'accrocher à «ses propres résultats» pour se maintenir au pouvoir.
Au centre de ces négociations, 2 hommes: le président Buhari du Nigéria ainsi que le Ghanaen Koffi Annan, ancien secrétaire général des Nations-unies et puis, un héros, le président de la Commission électorale indépendante Alieu Momar Ndiaye.
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